Musique militaire et 20 em siècle (wikipédia).
Anciens Musiciens du 15.1 :: Histoire de la musique du 15.1 (anecdotes vécues dans cette célèbre formation)
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Musique militaire et 20 em siècle (wikipédia).
XXe siècle [modifier]
Au début du XXe siècle, les 163 régiments d’infanterie de l’armée française sont dotés chacun d’une musique composée de 38 exécutants, 1 sous-chef et 1 chef. Chef dont la hiérarchie des grades (sous-lieutenant, lieutenant, capitaine) est établie en 1902, avec dès 1928 possibilité d’accéder au grade de commandant sur concours.
Entre les 2 guerres, l’effectif des musiciens passe de 38 à 58, une école de sous-chef de musique ouvre ses portes à Courbevoie en 1930, la sonnerie Aux morts composée par Pierre Dupont est jouée pour la 1re fois à l’Arc de Triomphe le 11 novembre 1932, la fanfare de la Garde républicaine (France) voit le jour à Issy-les-Moulineaux en 1934 et la Musique de l’Air est fondée en 1936.
Lors du Débarquement du 6 juin 1944, les commandos britanniques de Lord Lovat traversent en courant le Pegasus Bridge, au son de la cornemuse de Bill Millin.[1]
Après la 2e guerre mondiale, on assiste à la naissance d’un orchestre à cordes de la Garde républicaine destiné surtout aux réceptions à l’Élysée. Et dans les années 1960, l’indépendance des colonies françaises voit la disparition des musiques coloniales, mais une assistance technique est instaurée.
Par ailleurs, un centre de formation et de perfectionnement des sous-officiers musiciens de l’armée de terre est installé à Rueil-Malmaison en 1963 et, en 1978, il deviendra conservatoire militaire de musique de l’armée de terre. On crée également la fanfare de cavalerie de la Garde républicaine (France), notamment pour les escortes présidentielles.
En 1989, une réglementation des musiques prévoit pour l’armée de terre des formations territoriales et régimentaires. Les premières sont divisés en musiques principales (TDM, Légion, Metz), régionales et divisionnaires ; les secondes en musiques régimentaires, fanfares de type infanterie et fanfare de type ABC.
Quant à l’armée de l’air, elle dispose d’une musique principale et de quatre régionales, et la marine possède 2 musiques principales : l’une à Toulon, l’autre à Brest.
La Police Nationale possède également depuis 1956 une Musique constituée d'un grand orchestre d'harmonie et d'une batterie-fanfare. La Musique de la Police nationale, stationnée à Vélizy près de Paris, appartient aux corps des compagnies républicaines de sécurité. La Préfecture de Police (Paris) possède aussi sa propre musique avec une batterie-fanfare et un orchestre d'harmonie sous le nom de Musique des Gardiens de la Paix.
Au début du XXe siècle, les 163 régiments d’infanterie de l’armée française sont dotés chacun d’une musique composée de 38 exécutants, 1 sous-chef et 1 chef. Chef dont la hiérarchie des grades (sous-lieutenant, lieutenant, capitaine) est établie en 1902, avec dès 1928 possibilité d’accéder au grade de commandant sur concours.
Entre les 2 guerres, l’effectif des musiciens passe de 38 à 58, une école de sous-chef de musique ouvre ses portes à Courbevoie en 1930, la sonnerie Aux morts composée par Pierre Dupont est jouée pour la 1re fois à l’Arc de Triomphe le 11 novembre 1932, la fanfare de la Garde républicaine (France) voit le jour à Issy-les-Moulineaux en 1934 et la Musique de l’Air est fondée en 1936.
Lors du Débarquement du 6 juin 1944, les commandos britanniques de Lord Lovat traversent en courant le Pegasus Bridge, au son de la cornemuse de Bill Millin.[1]
Après la 2e guerre mondiale, on assiste à la naissance d’un orchestre à cordes de la Garde républicaine destiné surtout aux réceptions à l’Élysée. Et dans les années 1960, l’indépendance des colonies françaises voit la disparition des musiques coloniales, mais une assistance technique est instaurée.
Par ailleurs, un centre de formation et de perfectionnement des sous-officiers musiciens de l’armée de terre est installé à Rueil-Malmaison en 1963 et, en 1978, il deviendra conservatoire militaire de musique de l’armée de terre. On crée également la fanfare de cavalerie de la Garde républicaine (France), notamment pour les escortes présidentielles.
En 1989, une réglementation des musiques prévoit pour l’armée de terre des formations territoriales et régimentaires. Les premières sont divisés en musiques principales (TDM, Légion, Metz), régionales et divisionnaires ; les secondes en musiques régimentaires, fanfares de type infanterie et fanfare de type ABC.
Quant à l’armée de l’air, elle dispose d’une musique principale et de quatre régionales, et la marine possède 2 musiques principales : l’une à Toulon, l’autre à Brest.
La Police Nationale possède également depuis 1956 une Musique constituée d'un grand orchestre d'harmonie et d'une batterie-fanfare. La Musique de la Police nationale, stationnée à Vélizy près de Paris, appartient aux corps des compagnies républicaines de sécurité. La Préfecture de Police (Paris) possède aussi sa propre musique avec une batterie-fanfare et un orchestre d'harmonie sous le nom de Musique des Gardiens de la Paix.
Manuel général de la musique militaire.
http://books.google.fr/books?id=wVAQAAAAYAAJ&pg=PA325&dq=MANUEL+MUSIQUE+MILITAIRE&source=gbs_selected_pages&cad=0_1#PPP10,M1
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